bayyinaat

Publié le temps: 17 ,November ,2018      17:13:38
Ambiguïté 2 LES CHIITES CROIENT-ILS QUE LE CORAN FUT FALSIFIE ? Quatrième partie 1) Cheikh Zeinou dine Âmili (décédé en 877 de l’hégire) dans l’exégèse du verset: (Certes c'est nous qui avions révélé le rappel (le Coran) et en vérité nous en sommes gardiens) dit : «Dieu à travers ce verset veut reconfirmer sa qualité de Révélateur et de gardien du Coran. Il préserve son livre contre tout changement et toute altération». 2) Kâdzi seyyid Nourou-Dine Tastari, auteur du livre «Ihkâquoul haque » (décéde en 1019 de l’hégire) dit : «Cette parole concernant de possibles manquements ou ajouts dans le Coran, cette accusation dont sont victimes les chiites n'est qu'une parole sans fondement. Il est vrai qu'une minorité soutient cette conception qui ne fait aucunement l'objet d'acceptation chez la majorité et les savants chiites» Mohammed ibn Houssen plus connu sur le nom de «Bahaou-Dine Âmili» (décéde en 130 de l’hégire) dit : «La parole authentique est celle qui affirme qu'aucun ajout n’a pu se glisser dans le glorieux Coran, ni aucune omission constatée. Par contre la parole qui prétend que le nom du commandeur des croyants, Ali ibn Abi Talib (paix sur lui), a été supprimé dans le Coran n'a été acceptée d'aucun savant. Quiconque remonte dans l’histoire et creuse dans les récits se rendra compte à travers plusieurs témoignages des milliers des contemporains du noble prophète (saw) que le Coran est resté inaltérable et intouchable depuis sa révélation jusqu’aujourd'hui puisqu'il fut rassemblé à l’époque même du noble messager de Dieu (saw). 9) Feiz kashanî, auteur du livre «wâfih» (décédé en 1091 de l’hégire) après avoir évoqué le verset : «certes c'est nous qui avions fait descendre le rappel et nous en sommes gardiens ».verset mettant en relief la nature inaltérable et inchangeable du Coran, dit : «Dans cette situation, comment le saint Coran peut-il être victime d’un éventuel ajout ou d’une modification, d'une suppression ou d'une omission ? Alors que le verset précité est clair et nous rappelle que Dieu Lui-même est le garant et le gardien de son livre. Alors comment pourrait-on justifier de telles prétentions sur le Coran alors qu'illes sont en contradiction évidente avec le livre de Dieu?» Il est évident que sauf un individu doutant du Coran et de la promesse de Dieu de préserver son livre soutiendrait de telles affirmations. 10) Cheikh Hourr Âmili (décède en 1104 de l’hégire) dit : «Celui qui prend la peine de creuser loin dans l’histoire et dans les nouvelles transmises, se rend compte avec conviction que le saint Coran est stable et fut compilé à l’époque du messager de Dieu (saw) même ». 11) le célèbre penseur «Kâchifoul Guita’e» dans son célèbre livre «kashfoul Guita’e» dit : «Sans l'ombre d’aucun doute, le saint Coran bénéficie de la garde et de la préservation divine contre toute sorte d’altération et de changement. Tel que témoigne le Coran lui-même ainsi que l'ensemble des savants au cours de toutes les époques. L’opposition d’un petit groupe par rapport à cette conception ne bénéficie d'aucune crédibilité». (A suivre…) Rédacteur Houssayn Mfouapon Mfotié Etudiant en cycle de Master. Ambiguïté 2
le saint Coran bénéficie de la garde et de la préservation divine contre toute sorte d’altération et de changement.
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Ambiguïté 2
LES CHIITES CROIENT-ILS QUE LE CORAN FUT FALSIFIE?

Quatrième partie

1) Cheikh Zeinou dine Âmili (décédé en 877 de l’hégire) dans l’exégèse du verset:

(Certes c'est nous qui avions révélé le rappel (le Coran) et en vérité nous en sommes gardiens) dit:

«Dieu à travers ce verset veut reconfirmer sa qualité de Révélateur et de gardien du Coran. Il préserve son livre contre tout changement et toute altération».[1]

2) Kâdzi seyyid Nourou-Dine Tastari, auteur du livre «Ihkâquoul haque » (décéde en 1019 de l’hégire) dit:

«Cette parole concernant de possibles manquements ou ajouts dans le Coran, cette accusation dont sont victimes les chiites n'est qu'une parole sans fondement. Il est vrai qu'une minorité soutient cette conception qui ne fait aucunement l'objet d'acceptation chez la majorité et les savants chiites»[2]

Mohammed ibn Houssen plus connu sur le nom de «Bahaou-Dine Âmili» (décéde en 130 de l’hégire) dit:

«La parole authentique est celle qui affirme qu'aucun ajout n’a pu se glisser dans le glorieux Coran, ni aucune omission constatée. Par contre la parole qui prétend que le nom du commandeur des croyants, Ali ibn Abi Talib (paix sur lui), a été supprimé dans le Coran n'a été acceptée d'aucun savant. Quiconque remonte dans l’histoire et creuse dans les récits se rendra compte à travers plusieurs témoignages des milliers des contemporains du noble prophète (saw) que le Coran est resté inaltérable et intouchable depuis sa révélation jusqu’aujourd'hui puisqu'il fut rassemblé à l’époque même du noble messager de Dieu (saw).[3]

9) Feiz kashanî, auteur du livre «wâfih» (décédé en 1091 de l’hégire) après avoir évoqué le verset : «certes c'est nous qui avions fait descendre le rappel et nous en sommes gardiens ».verset mettant en relief la nature inaltérable et inchangeable du Coran, dit:

«Dans cette situation, comment le saint Coran peut-il être victime d’un éventuel ajout ou d’une modification, d'une suppression ou d'une omission? Alors que le verset précité est clair et nous rappelle que Dieu Lui-même est le garant et le gardien de son livre. Alors comment pourrait-on justifier de telles prétentions sur le Coran alors qu'illes sont en contradiction évidente avec le livre de Dieu?»[4]

Il est évident que sauf un individu doutant du Coran et de la promesse de Dieu de préserver son livre soutiendrait de telles affirmations.

10) Cheikh Hourr Âmili (décède en 1104 de l’hégire) dit:

«Celui qui prend la peine de creuser loin dans l’histoire et dans les nouvelles transmises, se rend compte avec conviction que le saint Coran est stable et fut compilé à l’époque du messager de Dieu (saw) même ».[5]

11) le célèbre penseur «Kâchifoul Guita’e» dans son célèbre livre «kashfoul Guita’e» dit:

«Sans l'ombre d’aucun doute, le saint Coran bénéficie de la garde et de la préservation divine contre toute sorte d’altération et de changement. Tel que témoigne le Coran lui-même ainsi que l'ensemble des savants au cours de toutes les époques. L’opposition d’un petit groupe par rapport à cette conception ne bénéficie d'aucune crédibilité». (A suivre…)

Rédacteur

Houssayn Mfouapon Mfotié

Etudiant en cycle de Master.



[1] Izharoul Haque, ton 2 page 130

[2] Alaour-Rahman, page 25

[3]idem, page 25

[4] Tafsir Sâfi, tome 1, page 51

[5] Alahour-Rahman page 25

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